mercredi 26 juin 2019

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Le Manuscrit inachevé


Un manuscrit sans fin, une enquête sans corps, une défunte sans visage...

Aux alentours de Grenoble, un jeune a fini sa trajectoire dans un ravin après une course-poursuite avec la douane. Dans son coffre, le corps d'une femme, les orbites vides, les mains coupées et rassemblées dans un sac. À la station-service où a été vue la voiture pour la dernière fois, la vidéosurveillance est claire : l'homme qui conduisait n'était pas le propriétaire du véhicule et encore moins le coupable.



Léane Morgan et Enaël Miraure sont une seule et même personne. L'institutrice reconvertie en reine du thriller a toujours tenu sa vie privée secrète. En pleine promo pour son nouveau roman dans un café parisien, elle résiste à la pression d'un journaliste : elle ne donnera pas à ce vautour ce qu'il attend, à savoir un papier sur un auteur à succès subissant dans sa vie l'horreur racontée dans ses livres. Car sa vie, c'est un mariage dont il ne reste rien sauf un lieu, L'inspirante, villa posée au bord des dunes de la Côte d'Opale où est resté son mari depuis la disparition de leur fille. Mais un appel lui annonçant son hospitalisation à la suite d'une agression va faire resurgir le pire des quatre dernières années écoulées. Il a perdu la mémoire. Elle est seule.

Dans le vent, le sable et le brouillard, une question se posera : faut-il faire de cette vie-là un manuscrit inachevé, et en commencer un autre ?

Les 5 blessures qui empêchent d'être soi -même


Avez-vous parfois l'impression de tourner en rond dans votre cheminement personnel? Vous arrive-t-il de voir resurgir un problème que vous pensiez avoir résolu? Peut-être ne cherchez-vous pas au bon endroit.
Ce nouveau livre de Lise Bourbeau, aussi concret que les précédents, démontre que tous les problèmes d'ordre physique, émotionnel ou mental proviennent de cinq blessures importantes : le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice. Grâce à la description très détaillée de ces blessures et des masques que vous avez développés pour ne pas les voir, les sentir et surtout pour ne pas les connaître, vous arriverez à identifier la vraie cause d'un problème précis dans votre vie. Ces masques vous donneront également des réponses sur l'extrême maigreur ou grosseur des gens.
Ce livre vous permettra d'entreprendre la bonne démarche de guérison, celle qui mène au résultat recherché: être vous-même.
Lise Bourbeau vous propose, comme toujours, une solution pratique à la fin de ce livre pour arriver à transformer vos problèmes quotidiens en tremplin pour grandir et pour redevenir conscient que vous êtes un DIEU créateur.

Histoire de la France


De la scène inaugurale du partage de l’empire de Charlemagne jusqu’à nos jours, Jean-Christian Petitfils livre une fresque vivante et colorée de l’Histoire de la France.
Au-delà des récits légendaires, ce vrai «  roman national  » se lit dans l’action des gouvernants, les transformations sociales ou économiques, le mouvement des idées, l’histoire des mentalités, le dévouement des grandes figures héroïques ou celui, plus obscur, des petites gens transportées par l’amour de leur pays.
Car n’en déplaise à ses détracteurs, il existe bien une identité de la France. Ce pays a traversé une multitude de bourrasques et de drames, a connu une pluralité de régimes politiques, de périodes fastes et néfastes. Peu à peu, son identité s’est façonnée autour de quelques piliers fondateurs  : un État central propice à l’épanouissement de la nation, incarnant la justice au service du bien commun, défendant une laïcité ne reniant pas ses racines chrétiennes  ; un État marqué par des valeurs universelles, permettant l’assimilation des peuples et des cultures. Des piliers fortement ébranlés aujourd’hui.
S’appuyant sur les données historiques les plus récentes, Jean-Christian Petitfils nous convie à un palpitant récit. Saint Louis, Jeanne d’Arc, François Ier, Catherine de Médicis, Henri IV, Louis XIV, Robespierre, Napoléon, Jean Jaurès, Clemenceau, mais aussi, plus près de nous, De  Gaulle, Jacques Chirac, Simone Veil, Nicolas Sarkozy ou François Hollande, tous sont convoqués pour donner vie à ce tableau magistral.

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lundi 10 juin 2019

https://jaimelire66.blogspot.com/

Bonjour à toutes les lectrices et tous les lecteurs.
Dans ce blog dédié à la lecture, vous trouverez des livres numériques au format kindle en vente
sur Amazon et des livres brochés au format papier. Chaque mois un nouveau livre kindle sera disponible, dans une présentation simple et volontairement sans commentaire particulier. Vous pourrez lire quelques pages du livre numérique du 1er Chapitre, cela vous permettra de savoir si le livre vous captive.

Si le livre numérique vous a plu, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur Amazon.
Je vous souhaite une bonne lecture sur le blog: https://jaimelire66.blogspot.com/

toutes les semaines je vous propose de découvrir le top5 des livres au format kindle ou au format livre broché 
que j'ai eu plaisir à lire

De la Terre à la Lune (illustré) de Jules Verne

Enfin disponible en livre broché (illustré)


 De la Terre à la Lune ( illustré ) enrichi de 60 illustrations originales  une idée cadeau pour
 les 8 - 12 ans 
par Amazon.fr En savoir plus :




De la Terre à la Lune (enrichi de 60 illustrations).Description: Pendant la guerre fédérale des États-Unis, un nouveau club très-influent s’établit dans la ville de Baltimore, en plein Maryland. On sait avec quelle énergie l’instinct militaire se développa chez ce peuple d’armateurs, de marchands et de mécaniciens. De simples négociants enjambèrent leur comptoir pour s’improviser capitaines, colonels, généraux, sans avoir passé par les écoles d’application de West-Point[1] ; ils égalèrent bientôt dans « L’art de la guerre » leurs collègues du vieux continent, et comme eux ils remportèrent des victoires à force de prodiguer les boulets, les millions et les hommes.Biographie de l'auteur: Jules Verne est un écrivain français né en 1828 à Nantes et mort en 1905 à Amiens. Son l'œuvre est, pour la plus grande partie, constituée de romans d'aventures utilisant les progrès scientifiques propres au XIXe siècle : De la Terre à la lune, Vingt mille lieues sous les mers, Voyage au centre de la Terre…







extrait du :                                              CHAPITRE PREMIER         
LE GUN-CLUB.

Pendant la guerre fédérale des États-Unis, un nouveau club très-influent s’établit dans la ville de Baltimore, en plein Maryland. On sait avec quelle énergie l’instinct militaire se développa chez ce peuple d’armateurs, de marchands et de mécaniciens. De simples négociants enjambèrent leur comptoir pour s’improviser capitaines, colonels, généraux, sans avoir passé par les écoles d’application de West-Point[1] ; ils égalèrent bientôt dans « L’art de la guerre » leurs collègues du vieux continent, et comme eux ils remportèrent des victoires à force de prodiguer les boulets, les millions et les hommes.


Mais en quoi les Américains surpassèrent singulièrement les Européens ? ce fut dans la science de la balistique. Non que leurs armes atteignissent un plus haut degré de perfection, mais elles offrirent des dimensions inusitées, et eurent par conséquent des portées inconnues jusqu’alors. En fait de tirs rasants, plongeants ou de plein fouet, de feux d’écharpe, d’enfilade ou de revers, les Anglais, les Français, les Prussiens, n’ont plus rien à apprendre ; mais leurs canons, leurs obusiers, leurs mortiers ne sont que des pistolets de poche auprès des formidables engins de l’artillerie américaine.
Ceci ne doit étonner personne. Les Yankees, ces premiers mécaniciens du monde, sont ingénieurs, comme les Italiens sont musiciens et les Allemands métaphysiciens, — de naissance. Rien de plus naturel, dès lors, que de les voir apporter dans la science de la balistique leur audacieuse ingéniosité. De là ces canons gigantesques, beaucoup moins utiles que les machines à coudre, mais aussi étonnants et encore plus admirés. On connaît en ce genre les merveilles de Parrott, de Dahlgreen, de Rodman. Les Armstrong, les Palliser et les Treuille de Beaulieu n’eurent plus qu’à s’incliner devant leurs rivaux d’outre-mer.
Donc, pendant cette terrible lutte des Nordistes et des Sudistes, les artilleurs tinrent le haut du pavé ; les journaux de l’Union célébraient leurs inventions avec enthousiasme, et il n’était si mince marchand, si naïf « booby »[2], qui ne se cassât jour et nuit la tête à calculer des trajectoires insensées.

Or, quand un Américain a une idée, il cherche un second Américain qui la partage. Sont-ils trois, ils elisent un président et deux secrétaires. Quatre, ils nomment un archiviste, et le bureau fonctionne. Cinq, ils se convoquent en assemblée générale, et le club est constitué. Ainsi arriva-t-il à Baltimore. Le premier qui inventa un nouveau canon s’associa avec le premier qui le fondit et le premier qui le fora. Tel fut le noyau du Gun-Club[3]. Un mois après sa formation, il comptait dix-huit cent trente-trois membres effectifs et trente mille cinq cent soixante-quinze membres correspondants.
Une condition sine qua non était imposée à toute personne qui voulait entrer dans l’association, la condition d’avoir imaginé ou, tout au moins, perfectionné un canon ; à défaut de canon, une arme à feu quelconque. Mais, pour tout dire, les inventeurs de revolvers à quinze coups, de  carabines pivotantes ou de sabres-pistolets ne jouissaient pas d’une grande considération. Les artilleurs les primaient en toute circonstance.
« L’estime qu’ils obtiennent, dit un jour un des plus savants orateurs du Gun-Club, est proportionnelle « aux masses » de leur canon, et « en raison directe du carré des distances » atteintes par leurs projectiles ! »
Un peu plus, c’était la loi de Newton sur la gravitation universelle transportée dans l’ordre moral.
Le Gun-Club fondé, on se figure aisément ce que produisit en ce genre le génie inventif des Américains. Les engins de guerre prirent des proportions colossales, et les projectiles allèrent, au-delà des limites permises, couper en deux les promeneurs inoffensifs. Toutes ces inventions laissèrent loin derrière elles les timides instruments de l’artillerie européenne. Qu’on en juge par les chiffres suivants.
Jadis, « au bon temps », un boulet de trente-six, à une distance de trois cents pieds, traversait trente-six chevaux pris de flanc et soixante-huit hommes. C’était l’enfance de l’art. Depuis lors, les projectiles ont fait du chemin. Le canon Rodman, qui portait à sept milles[4] un boulet pesant une demi-tonne[5] aurait facilement renversé cent cinquante chevaux et trois cents hommes. Il fut même question au Gun-Club d’en faire une épreuve solennelle. Mais, si les chevaux consentirent à tenter l’expérience, les hommes firent malheureusement défaut.
Quoi qu’il en soit, l’effet de ces canons était très-meurtrier, et à chaque décharge les combattants tombaient comme des épis sous la faux. Que signifiaient, auprès de tels projectiles, ce fameux boulet qui, à Coutras, en 1587, mit vingt-cinq hommes hors de combat, et cet autre qui, à Zorndoff, en 1758, tua quarante fantassins, et, en 1742, ce canon autrichien de Kesselsdorf, dont chaque coup jetait soixante-dix ennemis par terre ? Qu’étaient ces feux surprenants d’Iéna ou d’Austerlitz qui décidaient du sort de la bataille ? On en avait vu bien d’autres pendant la guerre fédérale ! Au combat de Gettysburg, un projectile conique lancé par un canon rayé atteignit cent soixante-treize confédérés ; et, au passage du Potomac, un boulet Rodman envoya deux cent quinze Sudistes dans un monde évidemment meilleur. Il faut mentionner également un mortier formidable inventé par J.-T. Maston, membre distingué et secrétaire perpétuel du Gun-Club, dont le résultat fut bien autrement meurtrier, puisque, à son coup d’essai, il tua trois cent trente-sept personnes, — en éclatant, il est vrai ! 
Qu’ajouter à ces nombres si éloquents par eux-mêmes ? Rien. Aussi admettra-t-on sans conteste le calcul suivant, obtenu par le statisticien Pitcairn : en divisant le nombre des victimes tombées sous les boulets par celui des membres du Gun-Club, il trouva que chacun de ceux-ci avait tué pour son compte une « moyenne » de deux mille trois cent soixante-quinze hommes et une fraction.
À considérer un pareil chiffre, il est évident que l’unique préoccupation de cette société savante fut la destruction de l’humanité dans un but philanthropique, et le perfectionnement des armes de guerre, considérées comme instruments de civilisation. C’était une réunion d’Anges Exterminateurs, au demeurant, les meilleurs fils du monde.
Il faut ajouter que ces Yankees, braves à toute épreuve, ne s’en tinrent pas seulement aux formules et qu’ils payèrent de leur personne. On comptait parmi eux des officiers de tout grade, lieutenants ou généraux, des militaires de tout âge, ceux qui débutaient dans la carrière des armes et ceux qui vieillissaient sur leur affût. Beaucoup restèrent sur le champ de bataille dont les noms figuraient au livre d’honneur du Gun-Club, et de ceux qui revinrent la plupart portaient les marques de leur indiscutable intrépidité. Béquilles, jambes de bois, bras articulés, mains à crochets, mâchoires en caoutchouc, crânes en argent, nez en platine, rien ne manquait à la collection, et le susdit Pitcairn calcula également que, dans le Gun-Club, il n’y avait pas tout à fait un bras pour quatre personnes, et seulement deux jambes pour six.
Mais ces vaillants artilleurs n’y regardaient pas de si près, et ils se sentaient fiers à bon droit, quand le bulletin d’une bataille relevait un nombre de victimes décuple de la quantité de projectiles dépensés.
Un jour, pourtant, triste et lamentable jour, la paix fut signée par les survivants de la guerre, les détonations cessèrent peu à peu, les mortiers se turent, les obusiers muselés pour longtemps et les canons, la tête basse, rentrèrent aux arsenaux, les boulets s’empilèrent dans les parcs, les souvenirs sanglants s’effacèrent, les cotonniers poussèrent magnifiquement sur les champs largement engraissés, les vêtements de deuil achevèrent de s’user avec les douleurs, et le Gun-Club demeura plongé dans un désœuvrement profond.
Certains piocheurs, des travailleurs acharnés, se livraient bien encore à des calculs de balistique ; ils rêvaient toujours de bombes gigantesques et d’obus incomparables. Mais, sans la pratique, pourquoi ces vaines théories ? Aussi les salles devenaient désertes, les domestiques dormaient dans les antichambres, les journaux moisissaient sur les tables, les coins obscurs retentissaient de ronflements tristes, et les membres du Gun-Club, jadis si bruyants, maintenant réduits au silence par une paix désastreuse, s’endormaient dans les rêveries de l’artillerie platonique !
« C’est désolant, dit un soir le brave Tom Hunter, pendant que ses jambes de bois se carbonisaient dans la cheminée du fumoir. Rien à faire ! rien à espérer ! Quelle existence fastidieuse ! Où est le temps où le canon vous réveillait chaque matin par ses joyeuses détonations ? 


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